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L’Inspection générale de la police nationale vient de rendre public son rapport d’activité annuel : en 2021, 1093 enquêtes judiciaires lui ont été confiées dont la moitié relèvent d’allégations de violences commises par les forces de l’ordre. Un chiffre constant depuis 2020.
Depuis plus de cinq ans, les régions anglophones du nord-ouest et du sud-ouest du Cameroun connaissent une crise politique et sécuritaire majeure qui a fait plus de 6 000 morts. En dépit de la féroce répression des autorités, le reste du monde fait comme si de rien n’était, à commencer par la France, qui préfère parler de « troubles socio-économiques » afin de ménager Paul Biya.
Nous, les organisations de la société civile soussignées, exprimons par la présente nos graves inquiétudes quant à la situation des droits humains au Rwanda alors que le pays se prépare à accueillir la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth (Commonwealth Heads of Government Meeting, CHOGM) en juin 2022. Le silence du Commonwealth sur le bilan du Rwanda en matière de droits humains risque de remettre en cause le mandat de l’organisation concernant ces droits, ainsi que son intégrité et sa crédibilité.
Nos organisations, Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT-France), Agir ensemble pour les droits humains (AEDH) et Human Rights Watch (HRW), sont profondément préoccupées de la détérioration du climat politique actuel en République de Guinée et du choix pris par le Comité national du rassemblement pour le développement (CNRD), le 13 mai 2022, d’empêcher préventivement toutes manifestations de l’opposition et de la société civile en interdisant « toutes manifestations sur la voie publique, de nature à compromettre la quiétude sociale et l'exécution correcte des activités contenues dans le chronogramme jusqu'aux périodes de campagne électorale ».
Après la fin des manifestations du « Hirak » en Algérie, de nombreuses personnes ont été poursuivies sur la base d'accusation de terrorisme. Une réponse fallacieuse des autorités à ce soulèvement pro-démocratie afin de réprimer la liberté d'expression.
Peu avant le sommet spécial États-Unis-ASEAN qui se tiendra à Washington DC les 12 et 13 mai 2022, plusieurs ONG de défense des droits de l’homme écrivent au président Joseph Biden pour l’alerter sur l’escalade des atteintes aux droits numériques et suppression de la liberté d’expression en Asie du Sud-Est.
Les organisations qui composent le programme franco-colombien Ensemble pour la Paix - Vamos por la paz, ainsi que les autres organisations signataires, rejettent catégoriquement les accusations par lesquelles on a tenté de diffamer et de discréditer le précieux travail de la Comisión Intereclesial de Justicia y Paz et, plus particulièrement, de son secrétaire exécutif et représentant légal Danilo Rueda.
À l’occasion de l’élection présidentielle, nous, responsables d’organisations chrétiennes, protestantes et catholiques, et le représentant de la Métropole grec-orthodoxe de France, Patriarcat Œcuménique, appelions à un large débat démocratique. Nous insistions sur trois défis majeurs : le scandale des inégalités qui frappent en premier lieu les plus vulnérables, l’urgence écologique, et la paix et le vivre ensemble dans une société fracturée.
On ne construit pas la paix sur des fosses communes, proclame inlassablement le docteur congolais Denis Mukwege, prix Nobel de la paix 2018, devant tous les grands de ce monde qui l'accueillent, l'encensent et lui décernent les plus hautes distinctions.