À l’occasion de la journée mondiale des réfugiés, découvrez les témoignages vidéos de femmes et d’hommes contraints à l’exil, dont la voix est portée par des personnalités engagées.
Disparu depuis septembre 2024, Robert Gam, opposant tchadien, a été libéré après huit mois de détention secrète. Une victoire pour les droits humains, dans un contexte politique toujours répressif au Tchad.
Pour la première fois, un président colombien reconnaît publiquement la responsabilité de l’État dans les violations des droits humains commises à l’encontre de la Communauté de Paix de San José de Apartadó. Une étape majeure pour la mémoire, la justice et la paix.
À l’occasion de la visite d’Emmanuel Macron au Vietnam les 26 et 27 mai 2025, l’ACAT-France et six autres ONGs interpellent le Président de la République sur la situation des droits humains au dans le pays d’Asie du Sud-Est.
Face à l'horreur qui s'amplifie de jour en jour à Gaza, l'ACAT-France, par la voix de son président, Yves Rolland, appelle à un cessez-le-feu immédiat, au respect du droit international et à la justice pour toutes les victimes.
Après plus d'un an de détention arbitraire, quatre militants de la société civile ont retrouvé la liberté en Angola. Une victoire pour l'ACAT-France qui s'était mobilisée en leur faveur.
L’ACAT-France et trente autres organisations expriment leur profonde indignation quant à l’annonce par le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, de l’arrêt des "activités ludiques" en prison.
Accusé par la justice congolaise d’avoir organisé un coup d’État manqué et condamné à mort en instance puis en appel, le chercheur belge Jean-Jacques Wondo a finalement été libéré. Une victoire pour L’ACAT-France qui s’était mobilisée pour lui.
Nous exigeons la libération immédiate de Moussa Tchangari, défenseur des droits et Secrétaire Général de l’association Alternative Espaces Citoyens (AEC), qui a été incarcéré le 3 janvier 2025 après un mois de garde à vue.
Les 15 et 16 janvier 2025, l’ACAT-France a eu l'honneur d’être partenaire du premier Congrès mondial sur les disparitions forcées, à Genève. Cet événement a permis à notre organisation de réaffirmer son engagement en faveur des droits des victimes et des familles touchées par ce crime, tout en plaidant pour la ratification universelle de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées.
L'ACAT-France, la FIACAT et l'ACAT Canada expriment leur inquiétude face à la décision de la France de ne pas exécuter les mandats d'arrêt de la CPI, menaçant ainsi le droit international et la lutte contre l'impunité.