Appel à mobilisation.

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Relayez nos appels à mobilisation pour faire entendre la voix des opprimés.

Les appels à mobilisation sont des courriers hebdomadaires de l’ACAT-France à destination de ses abonnés pour qu’ils se saisissent du cas d’une victime. Chaque appel à mobilisation est accompagné d’éléments de contexte sur la situation des droits humains dans le pays concerné ainsi que d’une lettre à adresser aux autorités publiques par voie postale ou par voie électronique. Abonnez-vous !

  • Appel à mobilisation
En République du Congo, la lutte contre la criminalité et le banditisme menée par les autorités se fait au détriment du droit par des violations : exécutions sommaires, disparitions forcées, tortures, arrestations arbitraires… Des associations congolaises alertent depuis des mois sur la dérive répressive des forces de l’ordre avec la responsabilité des autorités publiques. Des vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent certaines de ces exactions.
  • Disparitions forcées
  • Justice et impunité
  • Torture
  • Violences policières
  • Appel à mobilisation
Arrêté le 23 novembre 2019, Ramy Kamel, un défenseur égyptien des droits humains de la minorité copte, est arbitrairement détenu depuis deux ans dans des conditions difficiles.
  • Détention
  • Appel à mobilisation
Défenseure des droits humains, Kenia Inés Hernández Montalván fait l’objet d’un acharnement judiciaire inédit en représailles de son activisme. Voilà plus d’un an qu’elle est détenue arbitrairement dans une prison de haute sécurité et poursuivie dans pas moins de huit affaires pénales !
  • Détention
  • Appel à mobilisation
Le 18 octobre 2021, le ministère de l’intérieur israélien annonce la révocation du statut de résident du défenseur des droits humains franco-palestinien Salah Hamouri. Cette décision pourrait à terme mener à son expulsion de sa terre natale. Quelques jours plus tard, six ONG palestiniennes dont Addameer pour laquelle travaille Salah Hamouri, sont classées comme organisations terroristes.
  • Détention
  • Appel à mobilisation
Il y a six ans, en octobre 2015, au moins 5 personnes étaient tuées et des dizaines d’autres blessées, par les balles d’éléments des forces de défense et sécurité congolaises, à Brazzaville et Pointe-Noire lors de la répression de manifestations de l’opposition. Jusqu’à ce jour, malgré les promesses d’enquête indépendante, les autorités congolaises n’ont pas mis en place les conditions permettant d’établir la vérité sur ces évènements.
  • Justice et impunité
  • Violences policières
  • Appel à mobilisation
Il y a un an l’ACAT-France se mobilisait pour José Luis Gutiérrez Hernández et César Hernández Feliciano, arrêtés et détenus arbitrairement après avoir manifesté pacifiquement pour les droits de leur communauté. Depuis, ils ont été relâchés, mais ils sont toujours poursuivis au pénal pour « rébellion ». Ils ont besoin de votre aide !
  • Appel à mobilisation
Cela fait maintenant plus d’une année que Collins Nana, Mira Angoung, Etienne Ntsama, Moussa Bello et Tehle Membou sont en détention provisoire au sein de la prison de New-Bell de Douala. Le Tribunal militaire qui les juge fait traîner le procès, reportant les audiences les unes après les autres, avec pour résultat : maintenir cinq jeunes en prison sans aucune raison hormis de les punir de leur militantisme.
  • Détention
  • Appel à mobilisation
Arrêté le 29 septembre 2019, Mohamed El-Baker, un avocat et défenseur des droits humains égyptien, est arbitrairement détenu depuis deux ans dans des conditions difficiles.
  • Détention
  • Torture
  • Appel à mobilisation
Yonny Ronay Chacon González, étudiant de 22 ans, fils d’humbles paysans, vient d’être condamné au Chiapas à une très lourde peine de prison sur la base d’aveux obtenus sous la torture et de preuves fabriquées.
  • Détention
  • Appel à mobilisation
Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa, deux anciens candidats à l’élection présidentielle de mars 2016, sont emprisonnés respectivement depuis le 16 juin 2016 et le 10 janvier 2017. À la suite de procès iniques, ils ont été condamnés à vingt ans de prison pour le premier et vingt ans de travaux forcés pour le second. Les Nations unies considèrent leurs détentions comme arbitraires.
  • Détention