Bahreïn : La condamnation à mort de deux victimes de la torture Zuhair Ebrahim Jasim Abdullah et Husain Abdulla Khalil Rashid est maintenue

Deux hommes bahreïnis ont été torturés pour qu’ils avouent des actes de terrorisme. Avec l’arrêt rendu en dernière instance par la Cour de cassation de Bahreïn, Zuhair et Hussein encourent le risque immédiat d’être exécutés.
Je soutiens Mohamed Elbaker

Depuis 2014, l’avocat Mohamed Elbaker défend, avec l’ONG crée la même année, les victimes du régime répressif égyptien. Arrêté le 29 septembre 2019, il voit depuis, sa détention régulièrement prolongée alors que le Covid 19 se répand dans les prisons égyptiennes.
Déjà 100 jours de détention arbitraire pour Maikoul, Halidou et Moundi !

Cela fait maintenant 100 jours que Maikoul Zodi, Halidou Mounkaila et Moundi Moussa, trois leaders de la société civile, croupissent en prison pour avoir eu l’audace de demander des comptes à propos de graves allégations de détournements de fonds au sein du ministère de la Défense rendues publiques en début d’année par un audit interne à ce ministère.
10 victimes de la torture soutenues en 2019 : que sont-elles devenues ?

Lors de la Nuit des Veilleurs 2019, l’ACAT avait mis en avant 10 cas de personnes issues de différents pays du monde, toutes victimes de torture, pour lesquelles l’association avait appelé à se mobiliser au cours d’une veillée, comme chaque année à l’occasion de cet événement oecuménique organisé en partenariat avec les journaux La Croix et Réforme. En amont de l’édition 2020 qui se tiendra le 26 juin prochain, voici des nouvelles de celles et ceux qui, toujours emprisonnés pour la plupart, continuent de payer de leur liberté leur combat en faveur des droits.
Journée mondiale des réfugiés 2020 : témoignages de la permanence asile

À l’occasion de la journée mondiale des réfugiés, l’ACAT-France a choisi de mettre en lumière des témoignages émanant de la permanence d’aide juridique aux demandeurs d’asile et réfugiés.
Mort d’un journaliste en détention : Il faut une enquête indépendante et impartiale !

Le journaliste Samuel Ajiekah Abuwe, connu sous le nom de Samuel Wazizi, est mort en détention. Il aura fallu 10 mois pour que les autorités camerounaises l’admettent après qu’Équinoxe Télévision, média indépendant camerounais, ait évoqué son décès sur ses ondes le 2 juin 2020. Le journaliste de 36 ans de Chillen Muzik and TV (CMTV), accusé de « collaboration avec des séparatistes » avait été arrêté par la police le 2 août 2019 à Buea, dans la région du Sud-ouest anglophone. Cinq jours plus tard, il était transféré dans une installation militaire de la même ville.
Lettre ouverte : libérez les blogueurs vietnamiens détenus durant la pandémie !

L’ACAT se joint à 15 organisations de défense des droits humains afin d’interpeller le Conseil des droits de l’homme et le Parlement européen sur l’arrestation de trois journalistes indépendants ces dernières semaines au Vietnam, qui viennent s’ajouter à la longue liste des blogueurs emprisonnés pour avoir tenté d’informer.
Relaxe de Cédric Herrou : la solidarité ne peut être criminalisée

Si la décision rendue ce 13 mai 2020 par la Cour d’appel de Lyon ne va pas jusqu’à remettre en question le système de l’asile en France, elle marque cependant une nouvelle victoire pour ceux qui s’engagent auprès des migrants et vient consolider le principe de fraternité tel que reconnu par le conseil constitutionnel en juillet 2018. C’est l’occasion pour l’ACAT de revenir sur une interview que Cédric Herrou nous avait accordé le 13 mars dernier, suite à l’audience.
La sécurité des défenseurs menacée par l’état d’urgence sanitaire

Depuis la proclamation de l’état d’urgence sanitaire, les défenseurs des droits humains et les journalistes sont gravement menacés, discrédités et entravés. L’ACAT demande aux autorités mexicaines l’adoption immédiate de mesures concrètes urgentes pour garantir leur sécurité et l’exercice de leur mission indispensable.
Nouvelles surveillances illégales et menaces à l’encontre des défenseurs des droits humains et de la paix

L’ACAT dénonce les agissements illégaux du renseignement militaire colombien à l’encontre d’au moins 130 défenseurs des droits humains, dirigeants sociaux, opposants politiques, signataires de l’accord de paix, magistrats et journalistes. Des garanties doivent être apportées pour protéger les personnes visées et empêcher que de telles pratiques ne se répètent.