Gaza

L’ACAT-France et d’autres organisations appellent à une manifestation à Belleville, Paris, mardi 8 juillet, à 18h30.

J’agis pour que Naâma Asfari soit libéré

Malgré la condamnation du Maroc par le Comité contre la torture (CAT), Naâma Asfari demeure emprisonné dans les geôles marocaines depuis 10 ans avec 18 autres prisonniers sahraouis dans l’affaire du camp de Gdeim Izik. Défenseur des droits et militant de la cause sahraouie, il se bat pour sa libération et la reconnaissance des tortures qu’il a subies.

Un défenseur des droits humains menacé de mort

A la suite d’une réunion avec le Ministre congolais des droits humains, au cours de laquelle il a évoqué une série d’activités de plaidoyer en préparation pour dénoncer l’impunité d’un haut responsable militaire ayant récemment pris ses fonctions de commandement à Kisangani, Dismas Kitenge – Président du Groupe Lotus – a reçu des menaces de mort via des appels téléphoniques depuis début septembre 2020.

Une avocate de la dernière chance pour Charles Flores

Gretchen Sween, avocate spécialisée dans la défense des condamnés à mort indigents au Texas, tente par tous les moyens de casser la condamnation à mort de Charles Flores. Elle pointe les nombreux obstacles pour défendre des accusés encourant la peine capitale et les condamnés à mort aux États-Unis.

L’accès à un.e avocat.e : un droit vital pour les condamné.e.s à mort

Le droit international garantit à toute personne accusée le droit à un procès équitable. Mais, pour toutes celles qui encourent la peine capitale, l’accès à un.e avocat.e va au-delà de la justice : c’est une question de vie ou de mort. Cette année, la Coalition mondiale contre la peine de mort, dont l’ACAT fait partie, a décidé à l’occasion du 10 octobre ( journée mondiale contre la peine de mort ) de sensibiliser à la question de l’accès à une défense effective. L’ACAT témoigne des conséquences tragiques des failles de la justice dans les pays où elle soutient des condamnés à mort.

Dix ans après la sortie du « Rapport Mapping » : il est temps de lutter contre l’impunité

Il y a dix ans, le 1er octobre 2010, le Haut-commissariat aux droits de l’homme des Nations unies (HCDH) rendait public le « Rapport Mapping », un inventaire de 617 incidents violents commis entre 1993 et 2003 en République démocratique du Congo (RDC) et ayant occasionné des violations graves des droits humains. Cette publication avait alors fait naitre au sein de la société civile congolaise l’espoir de procédures judiciaires contre les bourreaux de cette période tourmentée. Dix années après, les victimes attendent encore que les responsables de ces exactions soient jugés.

Contre la peine de mort, j’agis pour la libération de Salman Al-Awdah

Avec l’arrivée en 2015 de Salman Al-Saoud et de son fils le Prince héritier Mohammed Ben Salman, à la tête du royaume, le triste record de 184 personnes exécutées a été atteint en 2019. Salman Al-Awdah, un religieux très populaire, est enfermé dans les geôles saoudiennes depuis 3 ans et risque la peine de mort.

Exécution William Lecroy : « Au revoir, grands-mères et amis de France, ma vie fut bien meilleure de vous avoir connus. »

Aucun sursis, aucune clémence : William Emmett Lecroy, dans le couloir de la mort fédéral à Terre-Haute (Indiana) depuis 2004, a été exécuté dans la nuit du mardi 22 septembre. Il correspondait depuis plus de 12 ans avec des militants de l’ACAT-France de la région d’Epernay et de Reims. L’ACAT-France reste mobilisée aux côtés des condamnés à mort et continue de dénoncer un châtiment qui est l’exact opposé de la justice.

Appel à la tenue rapide d’un nouveau procès du défenseur des droits humains Germain Rukuki !

Germain Rukuki, ancien membre de l’ACAT-Burundi est emprisonné depuis juillet 2017. Le 30 juin 2020, la Cour suprême du Burundi a cassé l’arrêt de la Cour d’appel de Ntahangwa qui le condamnait, un an plus tôt, à 32 années d’emprisonnement pour « mouvement insurrectionnel, atteinte à la sûreté intérieure de l’État et rébellion ». La Cour suprême a demandé à ce qu’une nouvelle audience se tienne afin qu’il soit rejugé équitablement.

Appel mondial en faveur d’un mécanisme de suivi des droits humains en Chine

Dans une lettre ouverte au Secrétaire général de l’ONU, à la Haute-commissaire aux droits de l’homme et aux États membres de l’ONU, l’ACAT-France se joint à plus de 320 organisations du monde entier appelant à la création d’un mécanisme international indépendant chargé de remédier aux atteintes aux droits humains commises par les autorités chinoises.