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Suspendue en 2015 puis interdite un an plus tard, en octobre 2016, l’ACAT-Burundi subit la répression du régime contre les organisations de la société civile, dont l’action en faveur des droits humains est jugée criminelle. La Fondation ACAT pour la dignité humaine lui remet la 7ème édition de son Prix des droits humains Engel-du Tertre en reconnaissance de son travail.
Vendredi 22 octobre, le ministère israélien de la Défense a désigné comme organisations terroristes six organisations non-gouvernementales (ONG) palestiniennes : Addameer Prisoner Support and Human Rights Association, Al-Haq Law in the Service of Man (Al-Haq), Bisan Center for Research and Development, Defense for Children International-Palestine (DCI-P), Union of Agricultural Work Committees (UAWC) et Union of Palestinian Women's Committees (UPWC). Nos organisations déplorent vivement cette décision et expriment leur pleine solidarité avec les six ONG palestiniennes ciblées.
La publication, le 5 octobre dernier, du rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE) a provoqué stupeur et indignation non seulement chez les catholiques mais dans toute la société française.
Le Vivr'ACAT 2022 se tiendra à l’auberge de jeunesse Yves Robert, à Paris 18e, sur le thème : « Le respect des droits humains est-il garanti dans les démocraties ? ».
  • Détention arbitraire
  • Droit d'asile
  • Justice et impunité
  • Maintien de l’ordre
  • Violences policières
Face à la monté de l'individualisme, du rejet de l'autre et du refus du vivre-ensemble, l'ACAT-France lance un Appel à la vigilance à destination de tous les chrétiens..
L’ACAT-France accompagne la sortie nationale du film En route pour le milliard, prévue le 29 septembre 2021.
La seconde guerre du Congo débute en 1998 et voit s’affronter sept pays africains jusqu’en 2003. Entre le 5 et le 10 juin 2000, la « guerre des six jours » fait plus de 1 000 morts à Kisangani et dans ses environs. Depuis plus de vingt ans, des victimes demandent justice et réparations.
La rencontre officielle, le 5 juillet 2021, entre Emmanuel Macron et Mahamat Idriss Déby, président du Conseil militaire de transition (CMT) depuis le coup d’État du 20 avril dernier, a-t-elle été l’occasion d’une discussion franche quant aux violences subies par les manifestants pro-démocratie ? La communication évasive de l’Elysée à ce sujet relègue la protection des libertés fondamentales dans une parenthèse, quand 16 personnes, au moins, sont mortes par balles au cours des manifestations, entre fin avril et début mai. Alors qu’Emmanuel Macron les avait publiquement condamnées le 27 avril, l’ACAT-France regrette le manque de suivi actif.
Huit organisations de défense des droits humains dénoncent dans Le Monde Afrique « l’absence de réaction forte de la communauté internationale » face à la « répression brutale » qui s’est abattue sur le pays.
  • Détention arbitraire
  • Justice et impunité
  • Maintien de l’ordre
  • Violences policières
Le gouvernement fraîchement investi en République démocratique du Congo devrait adopter une stratégie claire pour que les personnes soupçonnées d’être pénalement responsables de graves violations des droits humains soient amenées à rendre des comptes, a déclaré aujourd’hui une coalition de 50 organisations de la société civile congolaise et internationale.

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