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Arrêtés le 28 février 2019, l’actrice et défenderesse des droits humains Eman al-Helw et le transgenre Hossam Ahmed ont été libéré.e.s sous contrôle judiciaire mi-septembre. Si l’ACAT se réjouit de cette très bonne nouvelle, elle demeure inquiète quant à leur situation même après leur libération.
Malgré la condamnation du Maroc par le Comité contre la torture (CAT), Naâma Asfari demeure emprisonné dans les geôles marocaines depuis 10 ans avec 18 autres prisonniers sahraouis dans l’affaire du camp de Gdeim Izik. Défenseur des droits et militant de la cause sahraouie, il se bat pour sa libération et la reconnaissance des tortures qu’il a subies.
Le 23 octobre 2020, la justice civile camerounaise a acquitté Marie Dawandala, Damaris Doukouya et Martha Weteya de la peine de mort à laquelle ces trois jeunes femmes avaient été condamnées par un tribunal militaire.
Des centaines de parlementaires européens et américains appellent le Président Abdel Fattah al-Sisi à libérer les prisonniers d’opinion égyptiens. En début de semaine, plus de 278 législateurs européens et américains ont envoyé des lettres ouvertes au Président Égyptien Abdel Fattah al-Sisi. Ces lettres envoient un message fort dénonçant la situation des prisonniers d’opinion.
A la suite d’une réunion avec le Ministre congolais des droits humains, au cours de laquelle il a évoqué une série d’activités de plaidoyer en préparation pour dénoncer l’impunité d’un haut responsable militaire ayant récemment pris ses fonctions de commandement à Kisangani, Dismas Kitenge – Président du Groupe Lotus – a reçu des menaces de mort via des appels téléphoniques depuis début septembre 2020.
Documenter, poursuivre, réparer. Les principes de la lutte contre l’impunité sont excessivement difficiles à mettre en place. Déclinaison en RDC, où leur application s’apparente à un combat de longue haleine dix ans après la publication du rapport Mapping qui a répertorié 617 violations graves pouvant être qualifiées de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Un article à retrouver dans notre magazine, Humains.
A l'occasion de la journée internationale contre la peine de mort, samedi 10 octobre, l'ACAT appelle les chrétiens à dire non à la peine capitale et à porter les condamnés dans leurs pensées et prières.
Gretchen Sween, avocate spécialisée dans la défense des condamnés à mort indigents au Texas, tente par tous les moyens de casser la condamnation à mort de Charles Flores. Elle pointe les nombreux obstacles pour défendre des accusés encourant la peine capitale et les condamnés à mort aux États-Unis.
Le droit international garantit à toute personne accusée le droit à un procès équitable. Mais, pour toutes celles qui encourent la peine capitale, l’accès à un.e avocat.e va au-delà de la justice : c’est une question de vie ou de mort. Cette année, la Coalition mondiale contre la peine de mort, dont l’ACAT fait partie, a décidé à l'occasion du 10 octobre ( journée mondiale contre la peine de mort ) de sensibiliser à la question de l’accès à une défense effective. L’ACAT témoigne des conséquences tragiques des failles de la justice dans les pays où elle soutient des condamnés à mort.
En République démocratique du Congo (RDC), la société civile se bat depuis le début des années 1990 pour que les responsables des exactions commises sur le territoire congolais soient punis et que les victimes puissent commémorer leurs morts. Un article à retrouver, avec d'autres, dans notre magazine Humains !

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