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Lundi 7 décembre doit commencer une visite de deux jours par le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi en France alors que trois semaines auparavant, trois directeurs d’une des dernière ONG de défense des droits humains encore active dans le pays ont été arrêtés. La France ne peut pas rester silencieuse.
Le président français Emmanuel Macron devrait faire pression sur le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi pour que ce dernier agisse sur le front des violations des droits humains avant sa prochaine visite à Paris, notamment pour qu'il libère les activistes et défenseurs des droits humains détenus arbitrairement, ont déclaré aujourd'hui 17 organisations de défense des droits humains.
Depuis deux mois, Oumar Sylla, alias Foniké Menguè - membre du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) et coordinateur adjoint de Tournons La Page (TLP-Guinée) - est détenu arbitrairement à la prison centrale de Conakry. Il est accusé d’attroupement illégal, de trouble à l'ordre public, d’atteinte à la sûreté de l'état et de destruction de biens publics.
Aussi bien au Vietnam, Mexique, Burundi qu’en Égypte, nombreux sont ceux qui continuent à subir d’insupportables violations de leurs droits. Qu’ils soient condamnés à mort, portés disparus, détenus arbitrairement : en cette période de l’Avent, ils ont toujours besoin de nous !
Depuis 20 ans, il n’y avait pas eu de rapport parlementaire sur le sujet. La mission d’information menée par les député.e.s Michèle Tabarot et Jacques Maire a rendu le 18 décembre son rapport sur les exportations d’armement. Un rapport qui conclut à la nécessité d’une plus grande transparence. Une demande portée par l’ACAT depuis bientôt trois ans !
Dans son rapport sur le maintien de l’ordre, l’ACAT questionnait cette volonté de l’ordre à tout prix qui semble s’imposer en France, au mépris des violences, des blessures graves et des restrictions au droit de manifester qu’elle engendre. L’évacuation des occupants de la place de la République menée lundi 23 novembre en est un rappel douloureux. Un ordre qui piétine les droits des personnes étrangères, qui bafoue les règles déontologiques de l’intervention des forces de l’ordre et qui menace le droit d’informer ne peut être la réponse d’un Etat démocratique.
Paris, le 24 novembre 2020 : Plus de 12 ans après l’enlèvement à N’Djamena de l’opposant tchadien Ibni Oumar Mahamat Saleh par la garde présidentielle tchadienne, de nouveaux éléments apparaissent au grand jour avec la publication d’un article d’investigation. L’ACAT-France, partie civile depuis avril 2014 à la plainte déposée par sa famille en France, appelle la justice française à sortir de son inactivité dans cette affaire et analyser ces nouveaux éléments pour relancer la procédure.
Alors que le 23 novembre 2020 marque un an de détention en isolement pour Ramy Kamel, un défenseur copte des droits humains égyptien, l'ACAT-France et Coptic Solidarity demandent instamment aux autorités égyptiennes de libérer immédiatement M. Ramy Kamel, de lever toutes les charges retenues contre lui et de mener des enquêtes sérieuses sur les allégations de torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants à l'encontre de Kamel.
Dans son discours d’investiture, le 24 janvier 2019, le président Félix Tshisekedi a promis « la réhabilitation et la consolidation d’un État de droit ». De nombreux Congolais attendent que le gouvernement s’engage véritablement dans la lutte contre l’impunité.
4 jours avant la commémoration des 10 ans de Gdeim Izik, la cour de cassation a étudié le 4 novembre 2020 le cas des 19 prisonniers restants du groupe de Gdeim Izik, en vue d’une décision le 25 novembre.