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En cette période de l'Avent, tendons la main à nos frères et soeurs en humanité privés de libertés qui souffrent en silence, trop souvent oubliés.
  • Détention arbitraire
  • Peine de mort
  • Torture
  • Violences policières
À l’occasion de la Journée internationale des victimes de disparitions forcées, le 30 août, l’ACAT-France revient sur ces crimes qui plongent les familles des disparus dans le désarroi et un impossible deuil. Découvrez le dossier de la revue Humains 34 consacré à ce sujet.
  • Détention arbitraire
  • Disparitions forcées
  • Torture
  • Violences policières
La journaliste burundaise Floriane Irangabiye, pour laquelle l’ACAT-France s’est mobilisée, a été libérée à la suite d’une grâce présidentielle. C’est une bonne nouvelle !
La nuit du 26 juin marque la 18ème Nuit des Veilleurs. Une chaîne de prière œcuménique en soutien aux victimes de torture, pour lesquelles l’ACAT-France se mobilise tout au long de l’année en relayant pétitions, rapports et témoignages.
Le 26 juin marque la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture. Ils sont condamnés à la peine de mort, poursuivis dans des procès injustes, leurs droits et libertés sont niés. Ils sont journalistes, avocats, parfois simples étudiants. Ils ont besoin de vous ! L'ACAT-France vous invite à entrer en veille pour soutenir, aux quatre coins du monde, les victimes de la torture.
L'ACAT-France salue l'acquittement puis la libération, en cette fin d'année 2022, de Tony Germain Nikina et de son client Apollinaire Hitimana. Il était le dernier défenseur des droits humains emprisonné au Burundi, à la suite d'un procès injuste qui l'avait condamné pour de prétendus actes de complicité avec des attaques qui ont secoué le pays. Pour seules preuves, l'accusation pointait son travail de défenseur au sein de l'Association pour la protection des droits humains et des personnes détenues.
Le Conseil de l’Union européenne (UE) a annoncé la levée des sanctions décidées en 2016 à l’encontre du Burundi, « [prenant] acte des progrès accomplis par le gouvernement burundais en ce qui concerne les droits de l'homme ». Une prise de position politique, en violation avec les valeurs de l’Union européenne, qui constitue un mépris flagrant pour la situation au Burundi.
En France, nous avons l’habitude de nous exprimer librement. Et nous oublions parfois que ce droit fondamental est bafoué dans de nombreux pays. En cette période de l’Avent, ceux qui en sont privés ont besoin de nous !
Suspendue en 2015 puis interdite un an plus tard, en octobre 2016, l’ACAT-Burundi subit la répression du régime contre les organisations de la société civile, dont l’action en faveur des droits humains est jugée criminelle. La Fondation ACAT pour la dignité humaine lui remet la 7ème édition de son Prix des droits humains Engel-du Tertre en reconnaissance de son travail.
Pour avoir dénoncé et documenté des violations des droits humains au Burundi, douze défenseurs et journalistes en exil ont été injustement condamnés à des peines de prison à perpétuité. Leurs peines doivent être annulées, leurs ONG et médias réhabilités !

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