Peine de mort : refusons l'indignité !

Vivre en attendant la mort est encore une torture infligée dans plus de 50 pays à travers le monde. Découvrez la réalité qui se cache derrière ce châtiment aussi injuste qu’indigne, et agissez à nos côtés.

Libres d’informer : défendons les journalistes contre la torture !

Derrière les murs des prisons, dans les sous-sols du pouvoir, à l’abri des regards, des hommes et des femmes sont séquestrés, humiliés, affamés, battus afin de briser leur volonté de défendre un droit fondamental : la liberté d’expression et d’information. À l’occasion de la journée internationale de soutien au victimes de la torture le 26 juin, soutenons celles et ceux qui, pour avoir simplement exercé leur droit fondamental, sont victimes des pires injustices dans leur pays.

L’ACAT-France convoque son assemblée générale 2022

Du 10 au 12 juin 2022, les délégués de l’ACAT-France se sont réunis en assemblée générale. Un temps de rencontres, d’échanges et de témoignages, après deux années de pandémie. Surtout, un temps essentiel pour la vie démocratique de l’association qui a renouvelé le mandat de son comité directeur et élu son nouveau président.

La Nuit des Veilleurs est l’invitée de Radio Notre Dame

Bernadette Forhan, vice-présidente catholique de l’ACAT-France, était ce matin au micro de l’émission « Rencontre » sur Radio Notre Dame pour présenter la 17ème édition de la Nuit des Veilleurs. L’occasion de rappeler que la torture, loin d’être consignée à une image du Moyen-Âge continue de sévir. Mais que veillée après veillée, nos actions lui opposent une solidarité d’ampleur à l’égard des victimes.

Mauritanie : un cycle de projets se termine pour l’ACAT-France

Une dernière mission de terrain de l’ACAT-France a été menée à Nouakchott, capitale de la République islamique de Mauritanie, du 11 au 16 octobre 2021, afin de clôturer le cycle de projets de « renforcement de la société civile dans la prévention de la torture et l’accès à la justice en Mauritanie »

Cameroun : cinq activistes condamnés à de la prison

Arrêtés le 18 septembre 2020 après une réunion du parti d’opposition Cameroon People’s Pary (CPP), Etienne Ntsama, Moussa Bello, Mira Angoung, Tehle Membou et Nana Collins ont finalement été condamnés à des peines de 16 à 18 mois de prison. L’ACAT-France déplore cette décision.

Cameroun : condamnation de plus de 80 militants et cadres de l’opposition

Au cours du mois de décembre 2021, plus de 80 militants et cadres du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), principal parti d’opposition, ont été condamnés à des peines allant de six mois à sept ans de prison ferme pour « attroupement », « insurrection » ou encore « rébellion ».