Appel à la libération de la journaliste Sandra Muhoza

Sandra Muhoza - Burundi

Sandra Muhoza, journaliste burundaise, a été condamnée à 21 mois de prison pour des accusations fallacieuses visant à museler la liberté de la presse. Mobilisez-vous pour dénoncer cette injustice et exiger sa libération immédiate !

Face à la répression, je soutiens le peuple iranien !

Depuis la mort de Mahsa Amini en septembre 2022, battue par la police des mœurs pour un hijab mal porté, un soulèvement majeur a éclaté en Iran, donnant naissance au mouvement « Femme, Vie, Liberté ». Ce mouvement, centré sur les droits des femmes, s’est transformé en contestation antigouvernementale dénonçant les violations des droits humains.

Guinée. Appel à une enquête indépendante sur la disparition forcée d’Oumar Sylla et de Mamadou Billo Bah

Plus de quatre mois après l’arrestation arbitraire et la disparition forcée à Conakry de deux défenseurs des droits humains guinéens, Oumar Sylla et Mamadou Billo Bah, la justice guinéenne n’a toujours pas fait de déclaration concernant l’avancement de l’enquête qu’elle a ouverte pour établir les circonstances de cet enlèvement et déterminer le sort qui leur a été réservé. Il est impératif qu’une enquête indépendante soit diligentée.

Assassinat de Rafael González López, défenseur de la communauté Triqui

La communauté Triqui, déjà fragilisée par des violences passées, fait face à de nouvelles attaques de paramilitaires, qui ont entrainé la perte tragique du défenseur communautaire Rafael Gonzalez. Malgré les demandes de la communauté internationale, le gouvernement mexicain fait preuve d’un manque de volonté pour protéger ces populations vulnérables et faciliter le retour des familles déplacées.

Allégations de tortures sur l’activiste Yves Kibouy Bershu.

L’activiste camerounais Yves Kibouy Bershu, également connu sous les pseudonymes de Ramon Cotta et Steve Akam, aurait subi des tortures durant sa détention au secret au Cameroun. Les autorités camerounaises ont failli à leurs obligations de protection et doivent, conformément aux lois en vigueur, ouvrir une enquête afin que les responsables de tels actes, qui sont contraires au droit camerounais, soient traduits en justice.