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  • Bonne Nouvelle

Justice pour les victimes de Zoghota !.

  • Justice et impunité
  • Torture

Le 10 novembre 2020, la Cour de justice de la CEDEAO a déclaré la Guinée coupable d’avoir enfreint « le droit à la vie », « le droit de ne pas être soumis à la torture, aux traitements inhumains, cruels ou dégradants », « le droit à ne pas faire l'objet de détention et arrestation arbitraire », « le droit à un recours effectif » dans l’affaire Zoghota et a condamné l'État à des dédommagements envers les victimes et les ayants droit des personnes décédées durant cette nuit de violences survenues entre le 3 et le 4 août 2012 en Guinée-forestière. Six citoyens avaient alors été tués par les balles de forces de défense et de sécurité, qui avaient attaqué le village de Zoghota car ses habitants contestaient un projet d’exploitation minière.

L'ACAT considère cette décision judiciaire de la Cour de justice de la CEDEAO comme une mesure historique en faveur des victimes guinéennes qui ne peuvent obtenir justice dans leur pays. La justice guinéenne, saisie pour ce même massacre, n'a en effet jamais pu rendre justice aux victimes jusqu'à ce jour.

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