Défenseurs de l'environnement en danger

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Journaliste et défenseur sahraoui des droits humains, Mohamed Lamine Haddi est arrêté en 2010 comme d’autres prisonniers de Gdeim Izik. Depuis juillet 2017, il est à l’isolement. Début 2021, en signe de protestation, il a mené une grève de la faim de 69 jours.
Le 7 septembre 2021, Oumar Sylla (alias Foniké Mengué) - coordinateur adjoint de Tournons La Page (TLP-Guinée) et responsable de la mobilisation et des antennes du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) - a été libéré.
Zhang Zhan est une journaliste citoyenne qui, dès février 2020, a filmé et dénoncé les conditions sanitaires à Wuhan. Détenue depuis mai 2020 et condamnée en décembre 2020 à quatre ans de prison, elle est détenue dans des conditions préoccupantes pour sa santé.
Le président de la Chambre d'accusation de la Cour d'appel de Brazzaville, Roger Justin Itsa a ordonné, le 13 juillet 2021, la « mise en liberté provisoire » d’Alexandre Dzabana, Christ Belvy Sidney Dongui Ganga, Niati Jean River, Paka Jean Louis, Mombo Etienne et Miangouila Florian Werner.
Le défenseur des droits humains Germain Rukuki a été libéré le 30 juin 2021 suite à une décision de la Cour d’appel de Ntahangwa, le 21 juin 2021, réduisant sa peine à une année de prison.
Officiellement poursuivis pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat », la détention du Dr. Alexandre Ibacka Dzabana et Christ Dongui doit cesser au nom de la liberté d’opinion et d’expression pacifique.
La défenseure des droits humains mexicaine Kenia Hernandez milite en faveur des libertés depuis plusieurs années dans deux Etats du Mexique (le Guerrero et l’Ometepec). Elle a souvent été inquiétée pour son engagement. Elle est aujourd’hui harcelée.
Le militant Oumar Sylla, alias Foniké Menguè, coordinateur-adjoint de Tournons la Page Guinée et responsable à la mobilisation du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC), a été condamné le 10 juin 2021, lors de son procès en appel, à 3 ans de prison ferme pour « communication et divulgation de fausses informations, menaces notamment de violences ou de mort ».
Huit organisations de défense des droits humains dénoncent dans Le Monde Afrique « l’absence de réaction forte de la communauté internationale » face à la « répression brutale » qui s’est abattue sur le pays.
  • Détention arbitraire
  • Justice et impunité
  • Maintien de l’ordre
  • Violences policières
Après plus de deux ans de détention provisoire, Paul Chouta a été remis en liberté le 20 mai 2021, deux jours après sa condamnation par le Tribunal de Première Instance du Mfoundi à vingt-trois mois d’emprisonnement ferme. L’ACAT-France, qui s’était mobilisée pour dénoncer sa détention abusive, se réjouit de sa libération.

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