• Actualité

Colombie : l’État reconnaît sa responsabilité dans les violations des droits humains contre la Communauté de Paix de San José de Apartadó.

  • Justice et impunité
  • Justice sociale

Pour la première fois, un président colombien reconnaît publiquement la responsabilité de l’État dans les violations des droits humains commises à l’encontre de la Communauté de Paix de San José de Apartadó. Cette reconnaissance marque une étape majeure pour la mémoire, la justice et la paix dans un pays encore marqué par des décennies de conflit.

En ce jour mémorable, l’ACAT-France se réjouit de la reconnaissance de responsabilité et des excuses publiques formulées par le gouvernement colombien envers la Communauté de Paix de San José de Apartadó. En tant que point focal en Europe pour cette initiative de résistance pacifique, nous sommes honorés de soutenir ceux qui, malgré les menaces, les intimidations et les tragédies, continuent de bâtir un avenir de paix.

Cette journée est non seulement un tournant pour la Communauté, mais elle met également en lumière la situation des populations paysannes, souvent oubliées dans les discours sur les droits humains. Nous appelons à une attention accrue sur leurs luttes et leurs droits, et nous encourageons la communauté internationale à se mobiliser pour garantir leur sécurité et leur dignité. Nous vous invitons à suivre cet événement historique en direct sur la chaîne YouTube de la présidence colombienne :

Partager l'article :

S'abonner à la newsletter.

Les dernières actualités.

Les actions que nous menons avec vous au quotidien permettent de changer des vies.

Pour la vie de chacun, nous pouvons tous agir ! 

L’ACAT-France et cinq autres ONG alertent sur la situation des peuples autochtones en Amérique latine, où l’accaparement des ressources naturelles et la répression des défenseur·es des droits humains issus de ces communautés s’intensifient.
Entretien – Pour la Journée internationale des peuples autochtones, Juana Aguilera Jaramillo, présidente de la Commission Éthique contre la torture au Chili, souligne le rôle essentiel du peuple Mapuche dans la protection de l’environnement et dénonce la répression qu’il subit.
  • Détention arbitraire
  • Disparitions forcées
  • Justice et impunité
  • Justice sociale
  • Torture
Dans sa décision du 7 août 2025, le Conseil constitutionnel a finalement censuré l’allongement à 210 jours de la durée maximale de rétention administrative, mais a néanmoins validé d’autres mesures particulièrement inquiétantes pour les demandeurs d’asile.