Peine de mort : refusons l'indignité !

Vivre en attendant la mort est encore une torture infligée dans plus de 50 pays à travers le monde. Découvrez la réalité qui se cache derrière ce châtiment aussi injuste qu’indigne, et agissez à nos côtés.

Salman al-Awdah : 4 ans de détention à l’isolement

Arrêté le 10 septembre 2017, il est détenu à l’isolement depuis lors et a subi de nombreux mauvais traitements qui ont grandement détériorés sa santé. Depuis septembre 2018, les audiences de son procès ne cessent d’être reportées tandis que le procureur continue de requérir la peine de mort contre al-Awdah.

Deux lanceurs d’alerte condamnés à mort !

Messieurs Navy Malela Mawani et Gradi Koko Lobanga, deux lanceurs d’alerte congolais, anciennement employés par Afriland First Bank (AFB) à Kinshasa, ont appris, le 25 février 2021, par voie de presse, qu’ils avaient été condamnés à mort. Ayant fui leur pays pour garantir leur sécurité, ils n’étaient pas en RDC au moment de leur procès et n’en avaient pas eu connaissance. Ces deux anciens membres du service d’audit interne avaient fourni, à deux ONG spécialisées, des informations importantes sur un réseau de blanchiment d’argent au sein de leur banque.

HUMAINS N° 18 – HISTOIRE : L’EMPREINTE DE LA MEMOIRE

Dans ce dossier, l’ACAT donne la parole à deux historiens, un écrivain, et au neuropsychiatre Boris Cyrulnik pour nous éclairer sur les liens entre mémoire et histoire. Découvrez combien il est vital de se souvenir et de sauver le patrimoine. Lisez notre article consacré aux prisonniers sahraouis de Gdeim Izik, 10 ans après cet évènement tragique. Et aussi, notre regard posé sur l’instrumentalisation politique de la peine de mort aux Etats-Unis.

Peine de mort : ces victimes invisibles

Rapport papier article

Focus. Magazine Humains #13.
Pour le 10 octobre 2019, la Coalition mondiale contre la peine de mort (dont l’ACAT est membre) a choisi d’attirer l’attention sur les atteintes aux droits des enfants dont les parents ont été condamnés à mort ou exécutés. L’occasion, pour l’ACAT,
de faire la lumière sur toutes les personnes qui, indirectement, subissent elles aussi les
effets dévastateurs de la peine capitale : enfants, familles, avocats, jurés ou bourreaux.