Burundi
Bonne nouvelle

Libération de trois défenseurs des droits humains

Aimé Gatore, Emmanuel Nshimirimana et Marius Nizigama, membres de l’organisation locale Parole et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM), ont été libérés le 21 mars 2019.
Le 21 / 03 / 2019

Aimé Gatore, Emmanuel Nshimirimana et Marius Nizigama, membres de l’organisation locale Parole et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM), ont été libérés le 21 mars 2019.

Ils avaient été acquittés trois mois plus tôt, fin décembre 2018, en appel.

Ils avaient été condamnés abusivement, en première instance, à 10 ans de prison pour "atteinte à la sûreté de l’État" en mars 2018 pour avoir voulu organiser un atelier national sur les violations des droits de l'homme commises au Burundi.

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À l’occasion de la Journée internationale des victimes de disparitions forcées, le 30 août, l’ACAT-France revient sur ces crimes qui plongent les familles des disparus dans le désarroi et un impossible deuil. Découvrez le dossier de la revue Humains 34 consacré à ce sujet.
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Floriane-Irangabiye
Burundi

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La journaliste burundaise Floriane Irangabiye, pour laquelle l’ACAT-France s’est mobilisée, a été libérée à la suite d’une grâce présidentielle. C’est une bonne nouvelle !
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Burundi

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Dans un contexte de rétrécissement de l’espace public au Burundi, les libertés d’expression et de la presse indépendante sont particulièrement ciblées par les autorités au pouvoir. Depuis le 18 avril 2024, la journaliste Sandra Muhoza est emprisonnée pour avoir fait des commentaires dans un groupe de conversations privées. Le 13 février 2024, la chambre de cassation de la Cour suprême a décidé de maintenir la condamnation de 10 ans d'emprisonnement contre la journaliste Floriane Irangabiye.