L’ACAT-France alerte sur l’escalade du conflit Israël-Iran et ses lourdes conséquences pour les civils. Elle appelle à un sursaut diplomatique pour éviter une catastrophe humanitaire et nucléaire.
Mojahed Kourkour, manifestant arrêté lors du soulèvement « Femme, Vie, Liberté » en Iran, a été exécuté ce mercredi 11 juin 2025. L’ACAT-France, qui s’était mobilisée en 2023 pour alerter sur son sort, déplore cette exécution.
En cette fin d’année, l’ACAT-France lance une campagne d’appel à la générosité qui met l’accent sur les violations des libertés fondamentales à travers le monde.
L’ACAT-France exprime sa profonde indignation après l’exécution, ce mardi 6 août 2024, de Reza Rasayi (Rasaei), un manifestant kurde arrêté lors des manifestations nationales « Femme, Vie, Liberté » en 2022.
Le 26 juin 2024, à l’occasion de la Journée internationale des Nations unies pour le soutien aux victimes de torture, l’ACAT-France (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture) organise la 19e Nuit des Veilleurs, au sein d’une année particulière qui marque les 50 ans de l'ONG. Cette édition aura pour thème « Grâce au Christ, la vie a vaincu la mort ».
À l'approche des fêtes de Noël, n'oublions pas celles et ceux qui attendent toujours d'être libérés des pires tortures, de la terreur, ou qui n'ont d'autre choix que l'exil et se trouvent à cette heure sans défense et perdus.
En 2007 à Téhéran, Reyhaneh Jabbari, une jeune femme de 19 ans, en situation de légitime défense, poignarde à mort l’homme qui s’apprêtait à la violer. Le régime iranien la condamnera à la peine de mort. Elle deviendra le symbole de la lutte pour les droits des femmes. L'ACAT-France soutient le film Sept hivers à Téhéran de Steffi Niederzoll.
À la lumière de la pandémie de COVID-19 − qualifiée « d'urgence de santé publique de portée internationale » par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) − nous, les organisations soussignées, exprimons notre vive inquiétude quant à la situation des détenu·e·s et des prisonnier.e.s dans la région de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient (ANMO). Si certains États de la région ont pris des mesures positives pour protéger la population dans son ensemble, la population carcérale reste particulièrement exposée à la propagation du virus.